Le lotissement devait occuper toute la partie sud du parc en bordure du rivage et à l'écart de la Villa Eilenroc. Le caractère de l'ensemble était censé s'intégrer à celui du parc et de la villa. Une avenue en V, sans communication apparente avec le tracé existant, bordée d'arcades de cyprès et d'exèdres, articulée à partir de trois ronds-points deservait chaque maison. Le plan général montre une succession continue de neuf maisons individuelles, toutes de plan et de volumétrie composites dissymétriques, avec porche, portique, parfois couvert en terrasse d'agrément, loggia, oriel sur un ou deux étages et une seule maison à l'écart, de plan symétrique. Certaines ont un caractère plutôt classique, d'autres relèvent davantage du régionalisme.£Mais des plans individuels conservés font état de projets de maisons jumelées trois par trois selon une disposition symétrique où chacune a sa propre entrée et répartit les pièces de petites dimensions sur deux ou trois étages (étage de soubassement, rez-de-chaussée et étage carré).£Toutes les maisons devaient être érigées entre une cour d'accueil et un jardin de caractère méditerranéen, parfois en terrasse, avec parterre régulier, bassin, palissades et arcades de verdure, pergola et alignements de cyprès. Au sud une zone naturelle devait séparer ces jardins du chemin des Douaniers longeant le rivage.