L'ensemble comprend une villa, une remise, une conciergerie et un port privé, construits en 1880 par un architecte inconnu pour Thérèze de Génissieu, épouse d'Edouard Vial, armateur niçois, Commissaire au Conseil d'Administration de la Société d'Eclairage et de Chauffage par le Gaz, et membre de la Société Immobilière et de Construction de Nice. L'édifice est implanté sur une parcelle de deux hectares achetée au comte Etienne de Pauletti Quincenet. Il est vendu à Sibour Bonnefoy, employé à la Trésorerie Générale d'Avignon, en 1907, puis revendu à Victor Luesman, puis au négociant Baratier, et enfin au baron Encar. En 1949, il appartient à la Société Immobilière de la rue de l'Université. La villa a subi deux remaniements : l'un en 1947, l'autre, en 1949. Elle est détruite en 1978 et remplacée par une résidence de vacances qui n'a pas été étudiée.
- recensement du patrimoine balnéaire
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Villefranche-sur-Mer - Villefranche-sur-Mer
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Commune
Saint-Jean-Cap-Ferrat
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Adresse
boulevard Dominique-Durandy
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Cadastre
1935 AI 76, 77, 1504 ;
1986
AI
117
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature
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AppellationsVilla Baratier
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Parties constituantes non étudiéesgarage, conciergerie, port, jardin d'agrément, remise
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Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle
- Secondaire : 2e quart 20e siècle
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Dates
- 1880, daté par travaux historiques, daté par source
- 1947, daté par source
- 1949, daté par source
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Auteur(s)
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Personnalité :
Génissieu Thérèze decommanditaire attribution par sourceGénissieu Thérèze deCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
- Personnalité : propriétaire attribution par source
- Personnalité : propriétaire attribution par source
- Personnalité : propriétaire attribution par source
- Personnalité : propriétaire attribution par source
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Personnalité :
La villa est de plan symétrique avec un sous-sol, deux étages carrés et un étage de comble. La façade est est encadrée par un porche et un bow-window, couverts par des terrasses. Elle est éclairée par des portes-fenêtres cantonnées de pilastre. Le rez-de-chaussée, souligné par un enduit à bossages continus en table, ouvre à l'est, sur une terrasse. Les façades nord et sud sont bordées de portiques couverts en terrasses. La remise et la conciergerie ne sont pas connues. Lors du premier remaniement, la villa a été rehaussée d'un étage attique et la façade ouest, simplifiée par la réduction des fenêtres du rez-de-chaussée, la suppression des colonnes du porche et du fronton, le remplacement de la balustrade par un garde-corps, et du parapet, par une balustrade. L'étage attique abrite huit chambres et trois salles de bains. Son sol est couvert de tomettes. L'état de la façade est n'est pas connu. Lors du second remaniement, la villa a été rehaussée d'un étage de comble éclairé par des lucarnes, couvert par une toiture à longs pans à croupes. Le jardin, de niveau, est irrégulier. Le port est constitué d'une digue. L'état du garage et de la conciergerie n'est pas connu.
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Murs
- enduit
- maçonnerie
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Toitsciment en couverture, tuile plate mécanique
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Étagessous-sol, 2 étages carrés, étage de comble
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- terrasse
- toit à longs pans
- croupe
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu
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Typologiesplan-masse régulier ; volumétrie symétrique ; élévation avec axe ; caractère éclectique
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État de conservationdétruit
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Techniques
- sculpture
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Représentations
- pot à feu
- cariatide
- pilastre
- colonne
- balustre
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Précision représentations
Dans le premier état, les terrasses sont bordées de balustrades. Les pilastres sont ornés de cariatides. Les frontons sont coiffés de pots à feu. Les portiques sont constitués de colonnes. Lors du remaniement l'étage attique a été couronné d'une balustrade.
Documents figurés
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[Villa Baratier, vue d'ensemble de la façade est.] / Photographie noir et blanc, anonyme, vers 1930. Dans : "Villefranche-sur-mer, Beaulieu-sur-Mer, Saint-Jean-Cap-Ferrat. Le temps retrouvé." / Didier Gayraud, Barbentane : Editions de l'Equinoxe, 1998, p.128.