• inventaire topographique, Inventaire du parc naturel régional des Baronnies provençales
maison, puis maison et auberge dite Auberge Aumage, puis maison et café dit Café Lombard
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
  • (c) Parc naturel régional des Baronnies Provençales

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Parc naturel régional des Baronnies Provençales - Serres
  • Commune Rosans
  • Lieu-dit
  • Adresse rue de la Tour , Petite Rue
  • Cadastre 1839 F1 202  ; 1984 F1 248  ; 2020 000F 248
  • Dénominations
    maison, auberge, café
  • Appellations
    Auberge Aumage, Café Lombard
  • Parties constituantes non étudiées
    étable, resserre, cellier, cuvage, séchoir, boutique

Commentaire historique

La maison à l'Epoque moderne

Dans son aspect actuel, l'origine de cette maison paraît remonter au 16e siècle ou au début du 17e siècle. C'est de cette période que pourraient dater l'encadrement chanfreiné de la porte en arc segmentaire de la façade orientale et celui de la porte murée du pignon nord. A cette époque, le couvrement de l'étage de soubassement pourrait avoir été un plancher sur poutres ou solives, hormis les deux petites voûtes en berceau côté ouest. L'actuelle voûte d'arêtes sur pilier a été manifestement collée à posteriori, en remplacement de ce plancher et elle remonte au 18e ou au 19e siècle.

D'ailleurs, l'aspect actuel des élévations n'est pas antérieur à la fin du 18e siècle ou au début du 19e siècle, avec des reprises plus récentes datant du milieu et de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle. Ces réaménagements concernent notamment les percements (portes et fenêtres) mais également l'ensemble de la façade occidentale qui a visiblement été entièrement reconstruite par adossement sur l'ancienne construction, comme le montre le collage de maçonnerie qui court sur presque toute la hauteur de l'angle nord-ouest de la maison.

Dans le cadastre de 1570, ce quartier est appelé « sime de Ville » ou « sime du Canton », mais également« Saint Ariez » du nom de l'ancienne église paroissiale toute proche. Dans ce document, mais également dans le cadastre de 1699, la Petite Rue est nommée « rue Coynelle ».

La maison au 19e siècle

Sur le plan cadastral de 1839, la parcelle possède un plan identique à l'actuel. Elle est mentionnée comme une « maison » de 54 m² d'emprise au sol, comptant 7 ouvertures et imposée dans la 2e catégorie fiscale (sur 8). Elle appartient alors à Jullien Aumage, aubergiste, dont c'est le seul bien au bourg mais qui possède de nombreuses terres agricoles alentour notamment aux quartiers de la Longeagne, des Moutarines, de Lidane, des Coings, etc. A cette époque, l'actuelle terrasse située devant le pignon nord n'existait pas, car cet espace était occupé par un escalier de distribution extérieur d'emprise plus modeste. En effet, la proximité de l'abside de l'église Saint-Arey – pas encore démolie à cette date – laissait peu de place à la rue.

Plan de masse d'après le plan cadastral de 1839, section F1. Echelle d'origine 1/1000e.Plan de masse d'après le plan cadastral de 1839, section F1. Echelle d'origine 1/1000e.

En 1858, cette maison passe à Victor Roux, cordonnier. Elle est désormais mentionnée avec 9 ouvertures imposables, indice du percement de nouvelles baies ou d'une requalification d'anciennes ouvertures agricoles. Dès 1861, celui-ci s'en sépare au profit de Joseph Martel. En 1886, c'est son fils homonyme Joseph Martel, boucher, qui en hérite. En 1889, elle passe à Joseph Bresson, époux de Marie Martel et demeurant à Dieulefit (Drôme). Il semble qu'à cette occasion une ouverture soit ajoutée, la maison en comportant désormais 10.

En 1892, c'est Victor Lombard, facteur à Rosans, qui en devient propriétaire. La tradition orale rappelle que le café tenu par la famille Lombard a fermé en 1921. La propriété est ensuite passé à Albert Lesbros, originaire de Laragne, qui a épousé Georgette Lombard.

Plan de masse d'après le cadastre de 2021, section 000F. Echelle d'origine 1/500e.Plan de masse d'après le cadastre de 2021, section 000F. Echelle d'origine 1/500e.

Description architecturale

Cette maison est située dans la partie nord du bourg intra muros de Rosans, où elle constitue l'extrémité d'un îlot de bâtiment séparant la Petite Rue et la rue de la Tour. Mitoyenne seulement sur son pignon sud, elle posséde un plan rectangulaire, adossé parallèlement au sens de la pente, et comporte un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage de comble.

Elévation est.Elévation est. Vue d'ensemble prise du nord.Vue d'ensemble prise du nord. Elévation ouest.Elévation ouest. Plans schématiques du bâtiment. De haut en bas : rez-de-chaussée surélevé, étage, étage de comble, toit.Plans schématiques du bâtiment. De haut en bas : rez-de-chaussée surélevé, étage, étage de comble, toit.

Fonctions et aménagements intérieurs

Etage de soubassement

L'étage de soubassement est couvert par une voûte d'arêtes à quatre croisées retombant sur un pilier central, enduite et peinte. Ce couvrement est prolongé côté ouest par deux petites voûtes parallèles en berceau, orientée est-ouest.

Le quart nord-est de cet étage de soubassement est séparé du reste par une cloison en maçonnerie de moellons. Cette pièce, à usage de resserre, est desservie par une large porte piétonne ouverte coté est, dans la Petite Rue. Les trois-quarts restant sont occupés par un cellier servant aussi de cuvage, accessible depuis le même côté par une porte piétonne large accostée d'une petite fenêtre aujourd'hui murée. Une banquette maçonnée court le long du mur sud, elle était destiné à recevoir les tonneaux de vin dont un exemplaire subsiste dans la pièce. L'angle nord-ouest de ce cellier est occupé par une grande cuve vinaire maçonnée, de plan rectangulaire, qui pouvait être remplie par une trappe aménagée dans la voûte de couvrement.

Plan schématique du bâtiment : étage de soubassement.Plan schématique du bâtiment : étage de soubassement. Etage de soubassement, cellier. Vue de volume prise du nord-est.Etage de soubassement, cellier. Vue de volume prise du nord-est. Etage de soubassement, cellier. Pilier central de la voûte d'arêtes.Etage de soubassement, cellier. Pilier central de la voûte d'arêtes. Etage de soubassement, cellier. Crochet trifide scellé dans la voûte.Etage de soubassement, cellier. Crochet trifide scellé dans la voûte.

Etage de soubassement, cellier. Couloir devant la cuve maçonnée, vue de volume prise du sud.Etage de soubassement, cellier. Couloir devant la cuve maçonnée, vue de volume prise du sud. Etage de soubassement, cellier. Angle nord-ouest, cuve vinaire maçonnée.Etage de soubassement, cellier. Angle nord-ouest, cuve vinaire maçonnée. Etage de soubassement, cellier. Angle nord-ouest, cuve vinaire maçonnée. Vue de volume.Etage de soubassement, cellier. Angle nord-ouest, cuve vinaire maçonnée. Vue de volume.

Rez-de-chaussée surélevé

La partie ouest du rez-de-chaussée surélevé est occupée par la cuisine, accessible côté ouest depuis la rue de la Tour, par une porte piétonne précédée de trois marches maçonnées dans l'épaisseur du mur. Cette cuisine est éclairée du même côté par une fenêtre dont l'allège accueille une pile d'évier monolithe en pierre de taille de grès. On note la présence de patères en bois scellés dans les murs. Côté est, une cloison en maçonnerie peu épaisse sépare la cuisine de la salle du café qui occupe le reste du rez-de-chaussée. Une porte avec menuiserie vitrée dans sa moitié supérieure permet de passer d'une pièce à l'autre.

Rez-de-chaussée surélevé, cuisine. Vue de volume prise du sud-est.Rez-de-chaussée surélevé, cuisine. Vue de volume prise du sud-est. Rez-de-chaussée surélevé, cuisine. Mur ouest, pile d'évier.Rez-de-chaussée surélevé, cuisine. Mur ouest, pile d'évier. Rez-de-chaussée surélevé, cuisine. Mur est, crochet en bois scellé dans le mur.Rez-de-chaussée surélevé, cuisine. Mur est, crochet en bois scellé dans le mur.

Depuis l'extérieur, la salle du café est desservie depuis la terrasse adossée contre la façade nord par une baie boutiquière dont la menuiserie à deux vantaux est également vitrée. Dans l'angle nord-est, l'embrasure d'une porte plus ancienne, murée, a été transformée en placard-niche. Le sol est constitué d'une chape de ciment ornée d'un damier en losanges organisé en tapis.

Rez-de-chaussée surélevé, café. Vue de volume prise du nord.Rez-de-chaussée surélevé, café. Vue de volume prise du nord. Rez-de-chaussée surélevé, café. Angle sud-ouest, porte vitrée donnant dans la cuisine et porte du réduit aménagé sous la montée de l'escalier.Rez-de-chaussée surélevé, café. Angle sud-ouest, porte vitrée donnant dans la cuisine et porte du réduit aménagé sous la montée de l'escalier. Rez-de-chaussée surélevé, café. Vue de volume prise du sud-ouest.Rez-de-chaussée surélevé, café. Vue de volume prise du sud-ouest. Rez-de-chaussée surélevé, café. Mur nord, baie boutiquière.Rez-de-chaussée surélevé, café. Mur nord, baie boutiquière. Rez-de-chaussée surélevé, café. Sol constitué d'une chape de ciment.Rez-de-chaussée surélevé, café. Sol constitué d'une chape de ciment.

Le long du mur sud de la salle du café, un escalier intérieur droit permet de monter à l'étage. Il est séparé de la pièce par une cloison maçonnée et un petit réduit est aménagée sous son rampant, où le sol conserve un revêtement en lauzes de grès. Les marches de cet escalier sont en carreaux de terre cuite rectangulaires, les nez-de-marches sont en bois et les contre-marches sont en mortier.

Rez-de-chaussée surélevé, escalier menant à l'étage. Vue de volume.Rez-de-chaussée surélevé, escalier menant à l'étage. Vue de volume. Rez-de-chaussée surélevé, escalier menant à l'étage. Détail des marches.Rez-de-chaussée surélevé, escalier menant à l'étage. Détail des marches.

Premier étage

Il est occupé par trois chambres, chacune éclairée par une fenêtre. Les sols sont en plancher à larges lames inégales, les murs sont enduits et peints avec un décor de plinthes brunes. Les plafonds sont également enduits. Une des portes possède une menuiserie à quatre panneaux moulurés et est équipée d'une poignée en ferronnerie intégrant la clenche.

Etage carré, chambre sud. Arrivée de la montée de l'escalier.Etage carré, chambre sud. Arrivée de la montée de l'escalier. Etage carré, chambre sud. Porte menant à la chambre ouest.Etage carré, chambre sud. Porte menant à la chambre ouest. Etage carré, chambre sud. Porte menant à la chambre ouest, détail de la poignée.Etage carré, chambre sud. Porte menant à la chambre ouest, détail de la poignée. Etage carré, chambre sud. Plancher.Etage carré, chambre sud. Plancher. Etage carré, chambre nord. Mur nord, fenêtre.Etage carré, chambre nord. Mur nord, fenêtre.

Etage de comble

Originellement desservi par une échelle de meunier, il est destiné au séchoir. Il dispose d'une large baie côté ouest, complétée par deux petits jours d'aération côté est. Côté sud, un troisième petit jour a été muré lors de la surélévation de la maison mitoyenne. Le sol est également en planches, avec des baguettes qui recouvrent les espaces non jointifs. Les murs sont partiellement recouverts d'un enduit rustique.

Etage de comble, séchoir. Vue de volume prise du sud-ouest.Etage de comble, séchoir. Vue de volume prise du sud-ouest. Etage de comble, séchoir. Plancher.Etage de comble, séchoir. Plancher.

Matériaux et mise en œuvre

L'ensemble du bâtiment est construit en maçonnerie de moellons calcaires et de grès. La chaîne d'angle nord-ouest mêle pierre de taille et gros moellons équarris, celle du nord-est intègre moellons et gros moellons. Les élévations est et nord conservent un enduit rustique, alors qu'il est à pierres vues sur la façade ouest. La terrasse qui se trouve devant le pignon nord est partiellement bâtie sur une logette couverte par une demi-voûte en berceau segmentaire.

Chaîne d'angle nord-ouest, collage de maçonnerie.Chaîne d'angle nord-ouest, collage de maçonnerie. Terrasse.Terrasse.

Encadrements

Au premier niveau de l'élévation orientale, l'encadrement de la porte de la resserre est en arc plein-cintre, en pierre de taille de grès bouchardée à arêtes vives ciselées. Juste à côté, l'encadrement de la porte du cellier-cuvage, en pierre de taille de grès layée, est en anse-de-panier chanfreinée, avec des piédroits en quart-de-rond. Celui de la fenêtre murée de ce cellier-cuvage, ses piédroits sont en briques pleines feuillurées et son couvrement est réalisé par une plate-bande de briques clavées.

Elévation est, premier niveau. Porte nord.Elévation est, premier niveau. Porte nord. Elévation est, premier niveau. Petite baie avec encadrement en briques feuillurées, murée.Elévation est, premier niveau. Petite baie avec encadrement en briques feuillurées, murée.

Au deuxième niveau de cette même élévation orientale, les encadrements des deux fenêtres sont en pierre de taille de grès, avec appuis et linteaux droits monolithes. Celui de la fenêtre sud remploie manifestement des blocs layés qui ont été ultérieurement feuillurés. Pour celui de la fenêtre nord, il s'agit de blocs bouchardés à arêtes vives ciselées.

Au premier niveau du pignon nord, on observe une porte murée dont l'encadrement en pierre de taille de grès layée est à arêtes vives, avec appui et linteau droits monolithes. On note quelques traces d'aiguisage.

Les encadrements des autres ouvertures possèdent des piédroits en moellons, avec éventuellement une finition au mortier, et un linteau droit en bois ou exceptionnellement en pierre de taille. Celui de la porte de l'élévation nord est rehaussé d'un cadre peint en blanc et le linteau porte l'inscription peinte « CAFE ».

Pignon nord, premier niveau. Ancienne porte du logis, murée.Pignon nord, premier niveau. Ancienne porte du logis, murée. Pignon nord, premier niveau. Porte du café.Pignon nord, premier niveau. Porte du café. Elévation est, troisième et quatrième niveaux. Fenêtre du logis et jour du séchoir.Elévation est, troisième et quatrième niveaux. Fenêtre du logis et jour du séchoir.

Menuiseries extérieures

Les portes donnant accès au rez-de-chaussée disposent de menuiseries en partie vitrée. Les fenêtres sont équipées de contrevents en planches simples (façade est), à cadre (pignon nord) ou à persiennes (façade ouest).

Elévation ouest, deuxième niveau. Fenêtre équipée de contrevents à persiennes.Elévation ouest, deuxième niveau. Fenêtre équipée de contrevents à persiennes.

Toit

La charpente est à pannes et le toit à longs pans asymétriques est couvert en plaques ondulées de fibro-ciment recouvertes de tuiles creuses. Côté est, l'avant-toit est constitué de deux rangs de génoise alors que sur le pignon nord, la saillie de rive n'en comporte qu'un seul. Ces génoises conservent des traces de peinture blanche.

Vue d'ensemble prise du nord-ouest.Vue d'ensemble prise du nord-ouest.

L'origine de cette maison paraît remonter à l’Epoque moderne (16e siècle ou début du 17e siècle), mais l'aspect actuel des élévations n'est pas antérieur à la fin du 18e siècle ou au début du 19e siècle, avec des reprises plus récentes datant du milieu du 19e siècle, de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle.

  • Période(s)
    • Principale : Temps modernes
    • Principale : limite 18e siècle 19e siècle
    • Principale : milieu 19e siècle
    • Principale : limite 19e siècle 20e siècle

Cette maison, traversante et adossée parallèlement au sens de la pente, comporte un étage de soubassement occupé par une resserre et un cellier-cuvage couverts par une voûte d'arêtes, un rez-de-chaussée surélevé accueillant le café et une cuisine, un étage carré réservé au logis et un étage de comble à usage de séchoir.

Le bâtiment est construit en maçonnerie de moellons calcaires et de grès, avec des chaînes d'angle mêlant pierre de taille et gros moellons équarris. Les élévations conservent un enduit rustique ou à pierres vues. La terrasse qui se trouve devant le pignon nord est partiellement bâtie sur une logette couverte par une demi-voûte en berceau segmentaire. Les encadrements des ouvertures sont réalisés en pierre de taille de grès, certains remployés, ou sont façonnés au mortier.

Le toit à longs pans asymétriques, soutenu par une charpente à pannes, est couvert en plaques ondulées de fibro-ciment recouvertes de tuiles creuses.

  • Murs
    • grès moellon enduit
    • calcaire moellon
  • Toits
    ciment amiante en couverture, tuile creuse
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvrements
    • voûte d'arêtes
    • voûte en berceau
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit en charpente
  • Typologies
    A3b : maison avec parties agricoles ou commerciales en partie basse et parties agricoles en partie haute
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • [Cadastre par confronts de la communauté de Rosans.] / 1570 [registre relié, incomplet : f° 138 à 319, nom du notaire inconnu]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 E 6468.

    1570
  • Cadastre general des batimens fondz et proprietes de tous les habitans et possedans biens au lieu et terrain de presant lieu de Rosans. / 1698-1755 [registre relié, Antoine Perrin, châtelain de Sahune ; Jean-André Bonnet, de Bellegarde, experts jurés en 1698-1699 ; procédure de révision en 1702 experts jurés : Antoine Bérenger et Guillen Armand ; révision de la valeur cadastrale des biens en avril-mai 1755 (apparaît en marge, anonyme), 243 f° (supplément de 1702, 10 f°)]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 E 6470.

    1699
  • Matrices cadastrales de la commune de Rosans. / 1839-1911 [registre papier]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 1241 à 3 P 1243.

    F° 16-17, 1839. F° 625, 1858. F° 283, 1861. F° 788, 1886, 1889, 1892.
  • Etat des sections cadastrales de la commune de Rosans. / Par Truchy, géomètre, 1840 [registre papier]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 1240.

    Section F1, 1840.
  • Matrices cadastrales des propriétés bâties de la commune de Rosans. / 1882-1911 [registre papier]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 1244.

    F° 138, 1882, 1886, 1889, 1892.

Documents figurés

  • Plan cadastral de la commune de Rosans. / Dessin, encre et lavis par Truchy, géomètre, 1839. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 1239.

    Section F1, 1839.
Date(s) d'enquête : 2019; Date(s) de rédaction : 2020
(c) Parc naturel régional des Baronnies Provençales
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général