Dossier d’œuvre architecture IA04002671 | Réalisé par
  • inventaire topographique
poterie Turrel, puis hôtel de voyageurs dit Hôtel Turrel
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays Asses, Verdon, Vaïre, Var - Moustiers-Sainte-Marie
  • Commune La Palud-sur-Verdon
  • Adresse R.D. 952
  • Cadastre 1835 C1 113  ; 2014 C1 133
  • Dénominations
    poterie, hôtel de voyageurs
  • Appellations
    poterie Turrel, Hôtel Turrel
  • Parties constituantes non étudiées
    remise agricole, étable, fenil, café

Evolution du bâtiment : de la poterie à l'hôtel de voyageurs

L'Hôtel Turrel est situé à l'entrée ouest du village de La Palud, au bord de la R.D. 952, juste en face de la fontaine-lavoir de l'Adoux. L'origine du premier bâtiment pourrait remonter au moins au 18e siècle. Ce bâtiment originel constitue le cœur de l'édifice actuel. Ses chaînes d'angles sont visibles sur les deux premiers niveaux des élévations sud et nord ; sur l'élévation sud, on devine encore l'ancienne ligne de la toiture à un pan, orientée vers l'ouest.

Sur le cadastre de 1835, ce bâtiment est mentionné comme "bâtiment rural poterie" de 90 m2 appartenant à Turrel Jean-Baptiste dit Basson Cadet, potier. Ce dernier possède également un "jardin" mitoyen (1835 C1 114). Ces deux parcelles correspondent à l'emprise du bâtiment actuel et de sa cour. La poterie utilisait très probablement l'eau du ruisseau alimenté par la fontaine tout proche. L'état des sections de ce cadastre nomme d'ailleurs ce quartier "La Fontaine".

La construction du bâtiment actuel s'est faite au cours de la seconde moitié du 19e siècle et au début du 20e siècle, en plusieurs étapes, ce que laissent voir les collages et surélévations successives visibles sur les élévations.

Vue d'ensemble de l'hôtel Turrel prise du nord-ouest, années 1910.Vue d'ensemble de l'hôtel Turrel prise du nord-ouest, années 1910.Tout d'abord, un bâtiment de deux étages (fenil sur étable) est accolé à l'élévation ouest du bâtiment de la poterie. Puis une autre construction similaire est encore ajoutée dans ce même axe, en même temps que le mur-portail qui ferme la cour côté ouest. A un moment indéterminé, le bâtiment de l'ancienne poterie est surélevé d'un niveau, comme en témoignent des baies murées sur l'élévation sud. Enfin, la grande partie orientale est construite en englobant l'ancienne poterie, les bâtiments des écuries sont alors surélevés d'un demi-niveau. Cette reconstruction date probablement d'entre 1910 et 1930 puisqu'elle ne figure pas encore sur une photographie des années 1910 et qu'en revanche elle est visible sur une carte postale datée des années 1930.

Elévation nord de l'hôtel Turrel, années 1930.Elévation nord de l'hôtel Turrel, années 1930.La terrasse et la remise semblent également dater du début du 20e siècle, comme une partie des aménagements intérieurs. La porte à double vantaux vitrés du grand salon pourrait avoir été fabriquée par la menuiserie Gibelin de La Palud. La tradition locale rappelle qu'une surélévation de la partie occidentale avait été prévue en 1914, mais que ce projet avait avorté à cause de la guerre ; en témoignent des pierres d'attentes visibles sur la chaîne d'angle nord-ouest, ainsi qu'un stock de moellons calcaires encore présent dans le jardin.

Jusqu'aux couvrement du ruisseau du Terrier et de la Haute Fontaine au tout début des années 1950, celui-ci longeait l'élévation nord, et il était franchi par un escalier de distribution extérieur suspendu, perpendiculaire à la façade. Suite aux travaux sur le ruisseau, cet escalier a été remplacé par un escalier de distribution extérieur en bois, parallèle à la façade, aujourd'hui détruit.

Activités commerciales

Une partie des archives de l'hôtel est conservée par les actuels propriétaires. Le plus ancien "agenda de bureau" retrouvé date de 1871, il est signé "Turrel Casimir Aubergiste à La Palud" ; le plus récent date de 1902. Ces volumes compilent les différents achats et vente de l'établissement, ainsi que les quittances des droits de licence. Outre la fonction d'hébergement des voyageurs, l'Hôtel Turrel était également l'endroit où s'échangeaient divers marchandises et produits : épicerie, céréales, fruits, œufs, matériaux de construction (tuile et carreau de terre cuite = "malon"), gibier et animaux domestiques, etc. Une activité de boucherie était exercée sous le porche ouest.

L'Hôtel Turrel organisait également des transports et expéditions pour des charges lourdes (chaux, sable, bidons de pétrole...).

Une note du 15 janvier 1882, facturée à un voyageur nommé "M. Abel", témoigne par exemple du quotidien d'un hôtel de voyageurs à cette époque : "foin : 20 livres (1 franc 20), avoine : 2 quarts (1 franc 50), repas : 1 soupé et le matin (2 francs 50), café (0 franc 50), absinthe (0 franc 30), qui font 6 francs". Une notation du 20 avril 1882 fait état du nombre de chevreaux pour la "1ère tuée", accompagné du nom des acheteurs et de la somme facturée.

Ces carnets contiennent également les dépenses engagées par l'hôtel pour les divers travaux successifs d'agrandissement et de surélévation. Ainsi, le 15 novembre 1880, il est précisé que l'hôtel doit "une journée à Joseph Sumian, une journée à Turrel maçon [...] 30 tuile à Peissellon Joseph". Le 27 novembre 1882, une autre note précise que l'hôtel doit payer "une journée à Joseph Sumian, une à Feraud François, une journée à Rouvier maçon (malonage)", ainsi qu'à "Lorans potier je dois petits malons 40, gros 20, tuiles" et que "je dois à Mr Poncet gros malons 4 paquets de 46, plâtre sac IIII".

Étiquette de l'Hôtel Turrel, années 1900.Étiquette de l'Hôtel Turrel, années 1900.L'hôtel possédait un tampon spécifique, utilisé dès 1881, et marqué "G. TURREL MAÎTRE D'HÔTEL - La Palud-de-Moustiers (B-ALPE)". Une étiquette en papier, du début du 20e siècle, existe également ; imprimée en rouge sur fond blanc, elle est au nom de "HÔTEL TURREL - LA PALUD DE MOUSTIERS" et a été imprimée par l'établissement "E. IMBERT & CO GRASSE".

L'Hôtel Turrel a également eu plusieurs enseignes en tôle peinte, aujourd'hui déposées, et qui mentionnent : HOTEL RESTAURANT - Renseignements pour les Gorges du Verdon" ; "HOTEL RESTAURANT DES GORGES DU VERDON" ; "CAFE RESTAURANT DES GORGES DU VERDON".

L'établissement a fonctionné jusqu'au début des années 1960. Il comptait alors neuf chambres, dont une aveugle au deuxième étage, équipées chacune d'un lit en 120 x 190 et d'une table de nuit. Depuis les années 2010, la partie est du bâtiment est occupée par un restaurant.

Analyse architecturale

Vue d'ensemble prise nord-ouest.Vue d'ensemble prise nord-ouest.

Partie ouest

La partie occidentale comprend deux bâtiments accolés : une remise surmontée d'un fenil et une étable, surmontée de la salle de café de l'hôtel.

La remise ouvre par une porte charretière dans le mur pignon ouest et par une porte piétonne ouverte dans le mur nord. A l'étage, le fenil, accessible par une baie fenière percée dans le mur ouest se prolonge au sud au-dessus du porche d'entrée.

L'étable est accessible par une porte charretière ouverte dans le mur sud. Une mangeoire sur banquette maçonnée est adossée au mur nord, elle est munie d'un râtelier en bois ; cette étable est aérée par des sections de canalisation en terre cuite intégrées à la maçonnerie. Le porche couvert abrite un petit espace de travail de boucherie, qui se traduit notamment par la présence de carreaux de terre cuite glaçurés bruns scellés sur un mur, et accompagnés de crochets de suspension en métal forgé. Un petit coffre-pigeonnier en menuiserie est fixé sous le plafond de ce porche couvert.

Partie est

Elle comporte un rez-de-chaussée et deux étages carrés. Le rez-de-chaussée était initialement occupé par deux étables, chacune accessible par deux portes piétonnes sur l'élévation sud. L'hôtel occupait les deux étages.

L'entrée se faisait en façade nord, par un escalier de distribution extérieur qui enjambait le ruisseau. Après le couvrement du ruisseau au début des années 1950, cet escalier a été remplacé par un escalier parallèle à la façade.

Bâtiment de l'hôtel. Premier étage carré, cuisine. Angle nord-ouest, cheminée.Bâtiment de l'hôtel. Premier étage carré, cuisine. Angle nord-ouest, cheminée.La porte donne dans un vestibule traversant distribuant à gauche (à l'est) un grand salon, au fond l'escalier tournant qui mène au second étage et à droite (à l'ouest) la cuisine et le bureau. Dans la cuisine, une cheminée est à demi-engagée dans le mur ouest, son fond est couvert de carreaux de terre cuite glaçurés blancs ; une pile d'évier est adossée au mur nord, elle est couverte des mêmes carreaux blancs. Cuisine et bureau sont séparés par un couloir donnant accès à la salle de café au-dessus de l'étable de l'aile occidentale. Cette salle, qui ouvre par une porte en menuiserie vitrée, a un sol de tomettes, et sur les murs, un décor peint de mouchetis bleus projeté et encadré par des liserés, également bleus.

Les murs de la cage d'escalier possèdent un décor peint de faux appareil, qui recouvre un décor peint antérieur bleu à liserés noirs. D'une manière générale, les sols de cet étage carré sont en tomettes, les cloisons en briques creuses sont enduites et peintes avec un décor de liserés ou de motifs floraux. Les plafonds sont enduits au plâtre, avec des moulures d'angle en gypserie. La porte du salon est à deux vantaux, avec une menuiserie vitrée dont le soubassement est décoré d'une étoile à quatre branches en marqueterie.

Le second étage carré était réservé aux chambres. Les murs et les plafonds sont enduits, les sols sont en tomette.

A l'angle sud-est, une remise, accessible par une large porte charretière est couverte par un toit-terrasse. Un escalier extérieur dessert la terrasse et permet d'accéder au salon et au vestibule de l'hôtel depuis le jardin.

Mise en oeuvre

L'ensemble du bâtiment est construit en maçonnerie de moellons calcaires. Les chaînes d'angles sont en pierre de taille calcaire. Les élévations reçoivent un enduit lisse, seule l'élévation sud porte un enduit à pierres vues. Sur la partie orientale, cet enduit est peint de couleur brun-rouge, avec un décor peint de frise géométrique et de faux encadrement.

Les chaînes d'angle sont gravées d'un décor de faux appareil. Les encadrements des fenêtres et de la porte principale possèdent des piédroits et linteaux clavés en brique pleine portant feuillure, éventuellement recouverts d'un mortier de gypse. Au troisième niveau de l'élévation sud, deux fenêtres possèdent un encadrement en pierre de taille de tuf, avec un linteau en briques clavées. Les encadrements des autres ouvertures sont façonnés au mortier de gypse, avec un linteau en bois. Sur l'élévation nord de la partie occidentale, on note que la fenêtre de la salle de café est occultée par des contrevents en bois plein. Pour la partie orientale, les fenêtres sont occultées par des contrevents à persienne. Au premier niveau de l'élévation sud, au niveau de la main courante de l'escalier extérieur, on relève une inscription manuscrite gravée à frais dans l'enduit et marquée "Turrel".

Le toit de la partie orientale est à un pan, celui de la partie orientale est à longs pans. Ils sont couverts en tuile creuse, et l'avant-toit est constitué de deux rangs de génoise.Un jardin arboré se trouve devant l'élévation sud.

L'édifice actuel est le fruit d'agrandissements et de constructions successives à partir du bâtiment originel d'une poterie mentionnée sur le cadastre de 1835 et pouvant remonter au 18e siècle. D'après les archives de l'hôtel, la conversion de la famille Turrel à la profession d'aubergiste est attestée au plus tard en 1871. Mais les différentes étapes de la transformation de la poterie en hôtel ne sont pas précisément datées.

Une première extension à ouest accole à la poterie une étable à chevaux, puis une remise surmontées d'un fenil. Le bâtiment de la poterie a subi une surélévation, puis a finalement été englobé dans la construction de l'hôtel de voyageurs qui constitue la partie orientale de l'édifice. Cette construction date probablement d'entre 1910 et 1930 puisqu'elle ne figure pas encore sur une photographie des années 1910 et qu'en revanche elle est visible sur une carte postale datée des années 1930.

La terrasse et la remise sud semblent dater du début du 20e siècle, comme une partie des aménagements intérieurs.

  • Période(s)
    • Principale : 18e siècle , (incertitude), , (détruit)
    • Principale : 2e moitié 19e siècle, 1er quart 20e siècle , (incertitude)

L'Hôtel Turrel est situé à l'entrée ouest du village de La Palud, au bord de la R.D. 952, juste en face de la fontaine-lavoir de l'Adoux. Il est constitué de deux parties, orientale et occidentale.

La partie occidentale correspond à deux bâtiments accolés à usage agricole ou domestique, qui comportent un rez-de-chaussée et un étage carré.

Au rez-de-chaussée, une remise est accessible par une porte charretière ouverte dans le mur ouest et une porte piétonne ouverte dans le mur nord, et une étable est accessible par une porte charretière ouverte dans le mur sud. Une mangeoire sur banquette maçonnée est adossée au mur nord, elle est munie d'un râtelier en bois ; cette étable est aérée par des sections de canalisation en terre cuite intégrées à la maçonnerie. Le porche couvert abrite un petit espace de travail de boucherie, qui se traduit notamment par la présence de carreaux de terre cuite glaçurés bruns scellés sur un mur, et accompagnés de crochets de suspension en métal forgé. Un petit coffre-pigeonnier en menuiserie est fixé sous le plafond de ce porche couvert.

La partie ouest de l'étage carré est occupée par un fenil, accessible par une baie fenière percée dans le mur ouest ; ce fenil se prolonge au sud au-dessus du porche d'entrée. La partie est de cet étage carré est occupée par la "salle de café" de l'hôtel ; la porte possède une menuiserie vitrée ; le sol est en tomette, le plafond et les murs sont enduits au plâtre, les murs reçoivent un décor peint de mouchetis bleus projeté et encadré par des liserés, également bleus.

La partie orientale comporte un rez-de-chaussée et deux étages carrés.

Le rez-de-chaussée était initialement occupé par deux étables, chacune accessible par deux portes piétonnes.

Le premier étage carré était accessible depuis la rue par un escalier de distribution extérieur qui enjambait le ruisseau, et côté jardin par un autre escalier extérieur desservant la terrasse. La partie ouest de ce premier étage carré est occupée par la cuisine et le bureau, séparés par un couloir donnant accès à la salle de café de l'aile occidentale. Dans la cuisine, une cheminée est à demi-engagée dans le mur ouest, son fond est couvert de carreaux de terre cuite glaçurés blancs ; une pile d'évier est adossée au mur nord, elle est couverte des mêmes carreaux blancs. La partie est de cet étage carré est occupée par un grand salon. Entre ces deux parties est et ouest, un couloir dessert la montée de l'escalier intérieur tournant qui mène au second étage carré. Les murs de cette montée d'escalier possèdent un décor peint de faux appareil, qui recouvre un décor peint antérieur bleu à liserés noirs. D'une manière générale, les sols de cet étage carré sont en tomettes, les cloisons en briques creuses sont enduites et peintes avec un décor de liserés ou de motifs floraux. Les plafonds sont enduits au plâtre, avec des moulures d'angle en gypserie. La porte du salon est à deux vantaux, avec une menuiserie vitrée dont le soubassement est décoré d'une étoile à quatre branches en marqueterie.

Le second étage carré était réservé aux chambres. Les murs et les plafonds sont enduits, les sols sont en tomette.

Une remise, accessible par une large porte charretière et couverte par un toit-terrasse, est accolée à l'angle sud-est.

L'ensemble du bâtiment est construit en maçonnerie de moellons calcaires. Les chaînes d'angles sont en pierre de taille calcaire. Les élévations reçoivent un enduit lisse, seule l'élévation sud porte un enduit à pierres vues. Sur la partie orientale, cet enduit est peint de couleur brun-rouge, avec un décor peint de frise géométrique et de faux encadrement. Les chaînes d'angle sont gravées d'un décor de faux appareil.

Les encadrements des fenêtres et de la porte principale possèdent des piédroits et linteaux clavés en brique pleine portant feuillure, éventuellement recouverts d'un mortier de gypse. Au troisième niveau de l'élévation sud, deux fenêtres possèdent un encadrement en pierre de taille de tuf, avec un linteau en briques clavées. Les encadrements des autres ouvertures sont façonnés au mortier de gypse, avec un linteau en bois. Sur l'élévation nord de la partie occidentale, on note que la fenêtre de la salle de café est occultée par des contrevents en bois plein. Pour la partie orientale, les fenêtres sont occultées par des contrevents à persienne. Au premier niveau de l'élévation sud, au niveau de la main courante de l'escalier extérieur, on relève une inscription manuscrite gravée à frais dans l'enduit et marquée "Turrel".

Le toit de la partie orientale est à un pan, celui de la partie orientale est à longs pans. Ils sont couverts en tuile creuse, et l'avant-toit est constitué de deux rangs de génoise.

Un jardin arboré se trouve devant l'élévation sud.

  • Murs
    • calcaire moellon enduit
  • Toits
    tuile creuse
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit à un pan
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
    • escalier intérieur : escalier tournant en maçonnerie
  • Techniques
    • peinture
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • État de section du cadastre de la commune de La Palud, 1836. Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains, 3 P 259.

    Section C, dite du Village.

Bibliographie

  • Association pour la Sauvegarde du Patrimoine de La Palud-sur-Verdon. La Palud-sur-Verdon. Mémoires d'un village des Gorges du Verdon. Nice : Edition stArt, 2014, 63 p.

    P. 5, 10 et 11.

Documents figurés

  • Plan cadastral de la commune de La Palud, 1835. / Dessin à l'encre sur papier par Gelinsky, géomètre du cadastre, 1835. Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : 105 Fi 144 / 001 à 014.

    Section C, feuille 1, parcelle 113, échelle d'origine 1/1250e.
  • Page de l'agenda de l'Hôtel Turrel avec le tampon de l'hôtel, année 1871. Collection particulière

  • Étiquette de l'Hôtel Turrel, années 1900. Imprimerie Imbert & Gros, Grasse. Collection particulière.

  • [Vue d'ensemble de l'hôtel Turrel prise du nord-ouest] / Photographie noir et blanc, années 1910. Dans : « La Palud-sur-Verdon. Mémoires d'un village des Gorges du Verdon » / Association pour la sauvegarde du patrimoine de La Palud-sur-Verdon, Nice : éditions stArts, 2014, p. 5.

  • [Vue d'ensemble de l'hôtel Turrel prise de l'est] / Carte postale noir et blanc, années 1930, Edition Cauvin, Digne. Dans : « La Palud-sur-Verdon. Mémoires d'un village des Gorges du Verdon » / Association pour la sauvegarde du patrimoine de La Palud-sur-Verdon, Nice : éditions stArts, 2014, p. 11.

  • [Elévation nord de l'hôtel Turrel] / Carte postale noir et blanc, années 1930. Dans : « La Palud-sur-Verdon. Mémoires d'un village des Gorges du Verdon » / Association pour la sauvegarde du patrimoine de La Palud-sur-Verdon, Nice : éditions stArts, 2014, p. 10.

Date d'enquête 2014 ; Date(s) de rédaction 2015
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général