La villa La Galéjade a été construite vers 1935 pour monsieur Maurice Aymès, alors directeur des carrières du Dramont (renseignement oral de la propriétaire).
- recensement du patrimoine balnéaire
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Saint-Raphaël - Saint-Raphaël
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Commune
Saint-Raphaël
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Lieu-dit
les Tasses
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Adresse
1078 boulevard Alphonse-Juin
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Cadastre
1981
AW
825
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature, villa balnéaire
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AppellationsLa Galéjade
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Parties constituantes non étudiéesportail, conciergerie, jardin d'agrément, garage
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Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle
La maison se présente comme un volume irrégulier construit en milieu de parcelle. Le jardin est constitué de deux parties. Autour de la villa, un espace couvert de gravier permet la circulation des voitures. Il est égayé par quelques arbres : palmier, eucalyptus, pins... La clôture est bordée à l'est de trois palmiers et au sud d'une haie de cyprès. La partie ouest de la parcelle comporte une pinède où se mêlent quelques eucalyptus, arbousiers, grenadiers et aloès. On note la présence de deux faux puits. A l'arrière de la parcelle se trouve une maison de gardiens.
La construction est en maçonnerie crépie. Le rez-de-chaussée est en moellons de porphyre apparents. Les élévations sont couronnées d'une génoise.
Le rez-de-chaussée est occupé par le garage, la chaudière à charbon du chauffage central et un logement ouvrant sur une galerie couverte en terrasse d'agrément. Il communique avec le premier étage qui est principalement accessible par un escalier extérieur formant un porche hors-d’œuvre. Un vestibule ouvre au sud sur la salle à manger qui se prolonge en façade par un salon donnant sur une terrasse, et par un boudoir dans l'angle. La salle à manger est couverte d'un plafond à poutres apparentes reposant sur des corbeaux de porphyre. A l'ouest, un couloir distribue deux chambres ouvrant également sur la terrasse sud. La cuisine est au nord, accessible du vestibule d'où part l'escalier en chêne qui dessert le deuxième étage qui n'occupe qu'une partie du niveau (bureau donnant sur une loggia).
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Murs
- porphyre
- crépi
- maçonnerie
- moellon
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Toitstuile creuse
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Étagesrez-de-chaussée, 2 étages carrés
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Couvertures
- toit à longs pans
- appentis
- croupe
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Escaliers
- escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en charpente
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Typologiesplan-masse régulier ; volumétrie composite ; élévation avec axe ; caractère régionaliste provençal
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Techniques
- sculpture
- ferronnerie
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Représentations
- blé
- monogramme
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Précision représentations
L'escalier en chêne est sculpté d'épis de blé. La ferronnerie de la porte d'entrée principale porte le monogramme M. A. (Maurice Aymès).
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Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
1920-1945
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
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- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
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Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2005.