Dossier de présentation du mobilier IM05001970 | Réalisé par ;
Feracci-Reynier Françoise
Feracci-Reynier Françoise

Chercheur au service régional de l'Inventaire de 1974 à 2007, spécialisée dans l'étude du mobilier (civil et religieux). Chargée d'études documentaires à la Conservation régionale des Monuments historiques à partir de 2007, puis au centre national des archives d'outre-mer.

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  • inventaire topographique
le mobilier de la chapelle, église paroissiale Saint-Claude, chapelle Saint-Claude, église paroissiale
Auteur
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Monêtier-les-Bains (Le)
  • Parties constituantes non étudiées
    vantail, bénitier, lutrin, meuble de sacristie, prie-Dieu, fauteuil, tabouret de célébrant, armoire, lustre, statue, tableau, estampe, bâton de procession, chandelier d'autel, chemin de croix, croix d'autel, lanterne de procession, pique-fleurs, harmonium, cloche, clochette, chasuble, manipule
  • Auteur(s)
    • Auteur : éditeur signature
    • Auteur : peintre, dessinateur, graveur signature
    • Auteur :
      Manufacture Giscard
      Manufacture Giscard

      L'entreprise Giscard est créé en 1855 par Jean-Baptiste Giscard (1824-1906) qui avait été contremaître chez Virebent. Son fils Bernard (1851-1926) et son petit-fils Henri (1895-1985) continuent l'entreprise, tout en étant des artistes de talent. Le dernier fut professeur à l'Ecole des Beaux-Arts de Toulouse de 1937 à 1965 et membre de la Société des Artistes Français. Il s'est remarié avec une des filles de Gaston Virebent. Le dernier Giscard à la tête de l'entreprise fut Joseph Giscard [1931-2005]. La manufacture fonctionna jusqu’en 2005, à la mort de Joseph Giscard. Il a légué une partie de la manufacture et le contenu des ateliers à la mairie de Toulouse.

      La fabrique Giscard, dans sa totalité, a été inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques le 13 mars 1998.

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      fabricant de statues signature
    • Auteur : fondeur de cloches signature
    • Auteur : graveur signature
    • Auteur : facteur d'harmonium signature
    • Auteur :
      Maison Turgis
      Maison Turgis

      Maison Turgis : imprimeur-éditeur parisien, spécialisée dans les images pieuses ; dates d'activité : vers 1820-1923.

      Entreprise fondée vers 1820 par Jean-Baptiste Turgis ; reprise à sa mort, en 1825, par son fils Pierre Louis Auguste Turgis dont l'épouse reprend l'entreprise à la mort de Pierre Louis Auguste (Turgis Veuve ou Turgis Vve sur les estampes). En 1855, les deux fils de la veuve Turgis Almire Auguste Turgis Aîné et Louis-Auguste Turgis Jeune s'associent un temps, mais très vite c'est Turgis Jeune qui prend seul la direction (Turgis Jeune sur les estampes). Enfin, en 1887, ce sont les deux fils de Louis (Turgis L. et Fils) qui prennent la suite et deviennent, en 1896, "éditeurs pontificaux". La maison ferme en 1923.

      Chaque changement de propriétaire est l'occasion d'un déménagement : Jean-Baptiste puis son fils sont installés rue Saint-Jacques, la veuve Turgis fait construire rue Serpente, Louis, rue des Ecoles (il crée également une succursale à New-York), les frères Turgis, rue Saint-Placide.

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      imprimeur-éditeur signature
    • Auteur :
      La Statue Religieuse
      La Statue Religieuse

      La Statue Religieuse (Pacheu, Lecaron et Peaucelle), fabricants de statues au 64 rue Bonaparte à Paris, est peut-être fondée en 1907.

      La statue religieuse est la dernière appellation de nombreuses maisons de fabricants d'ameublement d'églises : Raffl, Peaucelle-Coquet, Raphaël Casciani, Cachal-Froc (anciennement Froc-Robert), Frédiani, Verrebout, Delin, Costet, Salvatore Marchi, Besand, Solon, Poiret, Blondeau, Senart et Cie, Arnoult, A. Bognio jeune et Cie, Lagarde, Pillet (toutes ses maisons sont mentionnées sur le catalogue n°59 de La Statue Religieuse).

      En 1895, la maison Raffl (sise au 64 rue Bonaparte) est reprise par des associés : les Dellin, Pacheu, Le Caron.

      En 1907, c'est la maison Cachal-Froc qui rejoint la maison Raffl, fondant peut-être à cette date La Statue Religieuse.

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      fabricant de statues signature
    • Auteur :
      Burdin
      Burdin

      Dynastie de fondeurs de cloches à Lyon, active du début du 19e siècle à la fin de la guerre de 1914-1918 :

      - Jean-Claude Burdin II (1794-1865) et son beau-père André CHEVALIER (1777-1846)

      Utilise les signatures suivantes sur les cloches :

      de 1822 à 1825, BURDIN FILS AINÉ, Fondeur à Lyon

      1822, CHEVALIER et BURDIN FILS AINÉ, Fondeurs à Lyon,

      de 1825 à 1849, BURDIN AINÉ, Fondeur à Lyon.

      en 1836, CHEVALIER et BURDIN AINÉ, Fondeurs à Lyon,

      - Jean-Claude Burdin III (1823-1889)

      Utilise les signatures suivantes sur les cloches :

      de 1849 à 1865, BURDIN Fils Aîné, Fondeur à Lyon.

      de 1865 à 1880, BURDIN AINÉ, Fondeur à Lyon.

      - Ferdinand Burdin

      BURDIN Aîné 28, RUE DB CONDÉ, 28 A LYON 1899.

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      fondeur de cloches signature

Annexes

  • Liste du mobilier non étudié de l'église paroissiale Saint-Claude
Date d'enquête 1986 ; Date(s) de rédaction 1996
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Feracci-Reynier Françoise
Feracci-Reynier Françoise

Chercheur au service régional de l'Inventaire de 1974 à 2007, spécialisée dans l'étude du mobilier (civil et religieux). Chargée d'études documentaires à la Conservation régionale des Monuments historiques à partir de 2007, puis au centre national des archives d'outre-mer.

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Édifice
chapelle Saint-Claude, église paroissiale

chapelle Saint-Claude, église paroissiale

Commune : Le Monêtier-les-Bains
Lieu-dit : le Casset