Dossier d’œuvre architecture IA84000162 | Réalisé par
Sauze Elisabeth
Sauze Elisabeth

Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1969 à 2007.

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  • inventaire topographique
église paroissiale Saint-Martin, Saint-Blaise, Presbytère
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Dénominations
    église paroissiale, presbytère
  • Vocables
    Saint-Martin, Saint-Blaise

HISTORIQUE

Édifice antérieur

Contexte historique

C'est dans la ligne de la politique menée, durant tout le XVIIe siècle, par les archevêques d'Aix pour reconquérir au catholicisme les communautés protestantes du pays d'Aigues qu'il faut placer la construction de l'actuelle église paroissiale de Saint-Martin-de-la-Brasque : le village ne comptait, en effet, que trois familles catholiques en 1620 1.

L'ancienne église était depuis longtemps en ruine et se trouvait,en outre, assez éloignée de l'agglomération qui s'était, au XVIe siècle, installée à 700 mètres environ au nord du village médiéval abandonné. Dans ces conditions, le chapitre cathédral de Saint-Sauveur d'Aix, qui possédait le prieuré du lieu, décida de construire le nouvel édifice à proximité du village, sur un terrain appartenant au vicaire de la paroisse, situé à l'embranchement de la route reliant Ansouis à La Bastide-des-Jourdans et du chemin allant au hameau de Belle-Etoile 2.

Construction

Le contrat de prix-fait, qui fut passé à La Tour-d'Aigues le 16 mars 1626 par le sacristain Claude Mathieu et le chanoine Jean Nicolas de Mimata au nom du chapitre Saint-Sauveur, d'une part, et d'autre part, cinq maîtres maçons de Pertuis, Antoine Bonnefille et son fils Louis, Pierre Chauvet, François Boyer et Balthasar Achard, concernait non seulement l'église de Saint-Martin-de-la-Brasque,mais également celle de Peypin-d'Aigues que le chapitre d'Aix faisait rebâtir dans des conditions analogues.

Mise à part la contribution du vicaire de Saint-Martin-de-la-Brasque, messire Pierre Gilbert, qui fournissait le terrain et une somme de quarante cinq livres, le financement de l'ouvrage était intégralement pris en charge par le chapitre qui se réservait la faculté de contraindre les habitants du lieu à lui en rembourser une partie.

L'édifice, un peu plus petit que celui de Peypin-d'Aigues, devait se composer d'une nef, d'environ huit mètres de long sur cinq de large, voûtée en berceau brisé, et d'une abside en cul-de-four ouvrant sur la nef par un arc destiné à supporter un petit clocher. Mis à part la grande porte - d'un mètre de large sur deux de haut - avec l'oculus la surmontant, les fenêtres, l'arc triomphal et le clocher construits en pierre de taille, la bâtisse serait réalisée en blocage recouvert d'un crépi de chaux et de sable, dans lequel les maçons étaient autorisés à remployer toute la pierre qu'ils pourraient récupérer des ruines de l'ancienne église. Le chapitre d'Aix devait fournir les tuiles pour la couverture, le bois et les vitrages nécessaires, les autres matériaux, avec le creusement des fondations, restant à la charge des entrepreneurs 3.

Les travaux, commencés dès le mois de mai suivant, avancèrent d'abord assez rapidement, si l'on en juge d'après les paiements effectués par l'économe du chapitre. Ceux-ci, exception faite des soixante livres données comme acompte lors de la signature du contrat, se regroupent en deux séries de versements : la première, au mois de juillet 1627, d'un montant de 556 livres, la seconde, en novembre-décembre 1627 et janvier 1628, d'un montant de 561 livres, la dépense s'élevant au total à 1177 livres ou 392 écus 20 sous 4. Mais, par la suite, les maçons prirent du retard et, à l'automne de 1629, l'ouvrage n'étant toujours pas achevé, le chapitre dut intenter une action en justice contre eux : après une première sommation le 5 septembre 5, puis une seconde le 20 septembre 6, le juge de La Tour-d'Aigues fut sollicité d'intervenir 7 et assigna par devant lui les entrepreneurs, déléguant par ailleurs une commission d'experts sur les chantiers 8. Les maçons répondirent, le 10 janvier 1630, qu'ils avaient terminé les travaux selon leur contrat et que le retard venait du chapitre, qui n'avait pas fini de les payer, et des experts chargés de vérifier la qualité de l'ouvrage, qui étaient bloqués à Aix par une épidémie de peste 9. Les comptes, en définitive, ne furent réglés qu'un an et demi plus tard, lorsque le chapitre, après avoir reçu le rapport des experts et l'estimation finale de la maçonnerie exécutée 10, versa aux maçons le solde de leur créance et reçut d'eux l'engagement de refaire à leurs frais la voûte de l'église de Peypin si celle-ci venait à tomber dans les douze ans à venir 11.

Comme le précédent, le nouvel édifice fut placé sous l'invocation de saint Martin, dédicataire du prieuré, mais les textes lui donnent plus souvent pour titre saint Blaise, patron de la vicairie.

Lors de la visite pastorale du 23 Avril 1633, l'église était en service, son unique autel garni d'un retable, d'une lampe et de deux chandeliers et son clocher d'une cloche. Il y avait à cette date quinze communiants à Saint-Martin-de-la-Brasque 12. Le vicaire, Pierre Gilbert, démissionna le mois suivant et fut remplacé par un prêtre de La Tour-d'Aigues, Georges Genies 13. Ce dernier eut, semble-t-il, quelques démêlés avec la population locale : le 3 septembre 1635, l'économe du chapitre d'Aix adressait au juge de La Tour-d'Aigues une plainte contre un certain Pierre Bret et son fils, tous deux protestants et habitants de Saint-Martin-de-la-Brasque, qu'il avait surpris montés sur le toit de l'église, en train de briser et jeter par terre les tuiles du couvert afin d'empêcher l'exercice du culte catholique 14.

Ces difficultés ne furent sans doute pas les seules. Le procès verbal de la visite pastorale du 20 octobre 1639 signale que la voûte de l'église a déjà des crevasses, qu'il n'y a pas de cimetière et que le mobilier reste réduit à un calice avec sa patène d'argent, un retable au maître-autel représentant saint Martin, une croix de cuivre et quelques ornements sacerdotaux ; le nombre des catholiques s'est réduit à sept ou huit 15. A la mort de Georges Geniès, en 1645, la vicairie fut attribuée à Nicolas Vassal, prêtre de Pertuis 16 qui ne la garda que trois ans. Son remplaçant, Joseph Rabasset 17 démissionna lui-même en 1650 au profit d'un prêtre originaire d'Ansouis, Gaspard Sellier 18, qui devait rester en place quatorze ans. La situation constatée lors de la visite pastorale du 19 juin 1654 n'était guère brillante : l'édifice avait besoin d'être crépi de neuf, réparé et muni de vitres aux fenêtres, il n'y avait toujours pas de cimetière, pas de sacristie ni de fonts baptismaux, le maître-autel était vieux et fort pauvrement orné et le second autel, érigé sous le titre de saint Blaise, dépourvu de retable 19. Deux ans plus tard, la déclaration fournie par le vicaire notait encore peu d'améliorations : le mobilier s'était accru seulement d'une clochette, d'une boite pour le transport des saintes huiles, d'un missel (imprimé à Lyon en 1641) et l'église avait été pourvue de fonts baptismaux, mais les deux autels n'étaient pas consacrés et ne disposaient que d'une seule pierre sacrée. Fait positif, cependant, une maison claustrale avait été bâtie contre l'église, permettant au vicaire de résider sur place avec un clerc, et le nombre des communiants s'était accru jusqu'à vingt quatre personnes, soit cinq familles pour trente trois famille protestantes 20.

Ces indications sont reprises par le procès-verbal de la visite pastorale du 7 novembre 1656 21.

Le mobilier s'accrut sensiblement dans les années suivantes. Un inventaire du 28 novembre 1663 fait apparaître au maître-autel un nouveau retable de peinture, représentant la Vierge à l'Enfant entourée de saint Blaise et de saint Martin, avec, sur les crédences, deux petits tableaux figurant la Vierge et la sainte Famille ; on y note aussi la présence d'une grande croix processionnelle, de quatre chandeliers et d'un encensoir de laiton, d'un crucifix de bois et d'un ostensoir d'argent pesant plus d'une livre 22.

Après le remplacement à la vicairie de Gaspard Sollier par Honoré Touret en 1664 23, l'église subit peu de modifications. La sentence rendue par l'archevêque à la suite de la visite pastorale du 6 juin 1674 se borna à ordonner de menus détails mobiliers : achat d'un ciboire, confection d'un couvercle pour les fonts baptismaux, d'une balustrade de bois pour le chœur, d'un confessionnal, entretien des autels par les marguilliers des confréries 24. Ces ordonnances, restées inexécutées, furent réitérées par la sentence du 11 juillet 1681 25. Des travaux importants furent, en revanche, entrepris pour la construction d'une nouvelle maison claustrale plus vaste : la décision en fut prise par le conseil de la communauté - qui semble avoir entretenu avec le vicaire d'excellents rapports - le 1er janvier 1694 26.

Le chantier fut d'ailleurs à l'origine d'un conflit entre les habitants et leur seigneur à cause des coupes de bois effectuées par ceux-ci dans la montagne pour alimenter le four à chaux bâti à cette occasion 27.

Au XVIIIe siècle, sous les vicairies Eucher Roche 28 et Louis Ollivier 29, l'église paraît avoir été bien entretenue et son mobilier régulièrement accru. Les catholiques pratiquants, vers 1730, n'étaient pas plus de trente, tandis que les "nouveaux convertis" (les protestants qui avaient été contraints d'abjurer lors de la révocation de l’Édit de Nantes), au nombre d'une centaine, ne faisaient aucun exercice de religion 30 : l'édifice était donc largement suffisant pour les besoins du culte. Les sentences des visites pastorales de 1712 31, 1740 32, 1764 33,et 1780 34 se contentent de prescrire de petites réparations. Les travaux les plus importants concernent, en 1779-1780, l'entretien de la maison curiale 35.

Sous la révolution, la commune de Saint-Martin-de-la-Brasque sollicita et obtint, le 28 octobre 1799, l'autorisation de prendre l'ancien presbytère pour y établir la mairie et l'école 36. Devenue propriétaire de l'église, elle continua d'en assurer l'entretien. Trois campagnes de travaux furent notamment menées, la première en 1874 pour la construction d'une nouvelle sacristie au nord de l'édifice et la réparation d'un pilier en pierre de taille et de l’œil de bœuf, la seconde, plus importante, en 1881-1882, au cours de laquelle le vieux clocher fut démoli et le clocher actuel construit sur le mur de façade complètement repris à cette occasion, la troisième en 1896 pour la réfection de la toiture et de la porte d'entrée 37.

DESCRIPTION

Situation et composition d'ensemble

L'église est englobée dans un groupe de maisons dont l'ancien presbytère qui la flanque du côté sud. Seule la façade antérieure est apparente, de hauteur légèrement moindre que le presbytère.

Ensemble des façades occidentales.Ensemble des façades occidentales.

Matériaux et leur mise en œuvre

Blocage de calcaires disparates dans un mortier grossier. Chaîne d'angle nord-ouest. Les murs sont crépis. Le massif du portail occidental est en grand appareil régulier de calcaire blanc.

Parti général, plan, coupe et élévations intérieures

Édifice à nef unique orientée au nord. La nef est de plan rectangulaire couverte d'un berceau brisé et une abside de plan semi-circulaire couverte en cul-de-four, de hauteur moindre que la nef.

L'arc triomphal retombe sur deux piliers couronnés d'une imposte chanfreinée (celui du côté gauche a été bûché).

Élévations extérieures

En avant de la façade sud a été construit à une époque récente un massif de faible profondeur, de quatre niveaux comprenant le portail, un oculus et deux niveaux de cloches.

Combles et couverture

Combles non accessibles. Tuiles creuses.

Distribution intérieure

Le sol est fait de dalles de ciment. Murs enduits (fausse pierre). Degré carré devant l'autel et le retable. Les fonts baptismaux(cuve monolithe sur un pied carré cimenté posé sur une marche de pierre) occupent l'angle nord-ouest. Une porte donne accès à la sacristie située au nord, une autre dans le presbytère (au sud).

Nef, vue d'ensemble d'ouest en est.Nef, vue d'ensemble d'ouest en est.

Inscriptions sur le massif occidental :

- Corniche du deuxième niveau : 1890.

- Parement de l'arc du quatrième niveau : O CRUX AVE.

1A.D. 13 (Aix), 1 G 1333.2Selon les termes mêmes du prix-fait, A.D. 13 (Marseille), 2 G 2106, pièce 2. Cf. texte du contrat en annexes).3Ibidem.4A.D. 13 (Marseille), 2 G 2106, pièce 3.5Ibidem, pièce 4.6ibidem, pièce 5, 20 septembre 1629 : " Comme soit qu'ensuite du priffaict qu'a esté donné par messieurs les depputés du venerable chapitre de l'esglise metrapolitaine Sainct-Sauveur de la ville d'Aix et Antoine et Louis Bonnefilles, pere et fils, François Boyer, Balthazar Achard et Pierre Chauvet, tous massons de ceste ville de Pertuis, de ediffier bien et duemant les esglises des lieux de Peypin et Sainct-Martin-de-la-Brasque depandantes dudict chapitre, lesquelles esglises lesdicts preffachers debvoyent avoir construict longtemps y a, ce qu'ils n'ont encore faict, nonobstant tout plain de sommations qui leur a esté faict, qu'est cause que se que se treuve construict, pour n'etre a son deub, au moyen des pluyes vient en ruine, bien que les tuiles du toit soyent sur le lieu il y a longtanps, lesquels tuiles pour n'estre employés se dissipent, que revient au grand intheret dudict chapitre, ensamble l'arc doubleau de l'eglise de Peypin qui vient aussi en ruine pour n'astre faict bien et duemant conformemant audict contract..."7Ibidem, pièce 6, 25 octobre 1629, supplique adressée au juge de la Tour-d'Aigues par messire Antoine Girmani, vicaire de Peypin, au nom du chapitre d'Aix, contre les entrepreneurs.8Ibidem, pièce 7, 30 octobre 1629.9Ibidem, pièce 8.10Ibidem, pièce 11, sans date.11Ibidem, pièce 9, 16 juillet 1631.12A.D. 13 (Aix), 1 G 1334, f° 183.13A.D. 13 (Marseille), 1 G 340, pièce 5, 21 mai 1633.14 A.D. 13 (Marseille), 2 G 2110, pièce 1 : "Supplie humblement l'économe du venerable chappitre Saint-Sauveur de la ville d'Aix que faict quelques jours que Pierre Bret, dit Pichot, et ung de ses enfans, de la relligion prethandue refformée, du lieu de Sainct-Martin-de-la-Brasque, pour le mespris de la relligion cathollique et appostollique et romaine et afin qu'on ne puisse faire le divin service dans l'esglize que ledict Chappitre a nouvellement fait audit Saint-Martin, lesdits Brets, de vrayet deffait, avec des eschelles seroient montés sur le couvert de ladite eglize et en icelle rompu et brisé quantité de tuilles et, n'eust esté que messire George Genieys, prestre et vicaire dudit Saint-Martin s'en aperceust et y acourut, haussent mesmes jetté le couvert par terre...".15A.D. 13 (Aix), 1 G 1335, f° 89.16A.D. 13 (Marseille), 1 G 340, pièce 7, 31 juillet 1645.17Ibidem, pièce 9, 15 mai 1648.18Ibidem, pièce 11, 2 avril 1650.19A.D. 13 (Aix), 1 G 1336, pp. 279-280.20A.D. 13 (Marseille), 1 G 340, pièce 12, 27 janvier 1656.21A.D. 13 (Aix), 1 G 1338, f° 21 r° - 22 r°.22A.D. 13 (Marseille), 2 G 2108, pièce 2.23A.D. 13 (Marseille), 1 G 340, pièce 13.24A.D. 13 (Aix), 1 G 1341, f° 8 r° - 9 v°.25A.D. 13 (Aix), 1 G 1342, pp. 531-532.26A.C. Saint-Martin-de-la-Brasque, BB 2, f° 4.27Ibidem, f° 9, Délibération du 23 janvier 1696.28A.D. 13 (Marseille), 1 G 340, pièce 15, 30 septembre 1716. Collation de la vicairie à messire Eucher Roche.29A.D. 13 (Marseille), G 650, 25 mai 1728, Déclaration de messire Louis Ollivier, vicaire de Saint-Martin-de-la-Brasque.30B. Méjanes (Aix), ms. 1048, p. 449.31A. D. 13 (Marseille), 2 G 2108, pièce 6.32Ibidem, pièce 9.33Ibidem, pièce 10.34Ibidem, pièce 11.35A.C. Saint-Martin-de-la-Brasque, BB 5, f° 36, délibération du 14 mars 1779 ; f° 45, délibération du 16 juillet 1780.36A.D. 84, 6 Q 4.37A.D. 84, 2 O 113 (5).

Construite de 1626 à 1629 par les maçons Antoine et Louis Bonnefille, Pierre Chauvet, François Boyer et Balthasar Achard, en remplacement de l'ancienne église ruinée et trop éloignée ; construction du presbytère contigu en 1656 ; construction de la sacristie en 1874 et du clocher en 1881.

Edifice à nef unique voûtée en berceau brisé continu et abside en cul-de-four ; élévation antérieure au sud précédée d'un porche surmonté d'un clocher mur à 2 baies superposées ; sacristie voûtée d'arêtes adossée au mur est ; presbytère de 2 étages carrés

  • Murs
    • molasse
    • enduit
    • moellon
  • Toits
    tuile creuse
  • Plans
    plan allongé
  • Étages
    1 vaisseau, 2 étages carrés
  • Couvrements
    • voûte en berceau brisé
    • cul-de-four
    • voûte d'arêtes
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Statut de la propriété
    propriété publique

Documents d'archives

  • Procès-verbaux des visites pastorales, évêché d'Aix-en-Provence, 1620-1621. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 1 G 1333.

    f°97 v° - 98 r°.
  • Procès-verbaux des visites pastorales, évêché d'Aix-en-Provence, 1627-1638. 1632. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 1 G 1334.

    f° 183.
  • Procès-verbaux des visites pastorales, évêché d'Aix-en-Provence,1638-1641. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 1 G 1335.

    f° 89.
  • Procès-verbaux des visites pastorales, évêché d'Aix-en-Provence, 1651-1654. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 1 G 1336.

    p. 279-280.
  • Procès-verbaux des visites pastorales, évêché d'Aix-en-Provence, 1656-1657. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 1 G 1338.

    f° 21 r° - 22 r°.
  • Procès-verbaux des visites pastorales, évêché d'Aix-en-Provence, 1674-1676. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 1 G 1341.

    f° 8 r° - 9 v°.
  • Procès-verbaux des visites pastorales, évêché d'Aix-en-Provence, 1681-1682. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 1 G 1342.

    p. 531-532.
  • Archevêché d'Aix. Etat des paroisses : Saint-Martin-de-le-Brasque. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 1 G 340.

    1581-1781, pièces 5 à 15.
  • Déclarations fournies par les redevables des décimes en 1728 et pièces à l'appui. Saint-Martin de la Brasque. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Marseille : 1 G 650.

  • Chapitre Saint-Sauveur d'Aix. Prieurés et prébendes. Saint-Martine-de-la-Brasque. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence : 2 G 2106, 2108, 2110.

  • Administration communale. Saint-Martin-de-la-Brasque, église. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 2 O 113 (5).

  • Délibération du conseil de la communauté. Saint-Martin-de-la-Brasque. Archives communales, Saint-Martin-de-la-Brasque : BB 1 à 5.

    694-1729 ; 1776-1791.
  • [Etat du diocèse d'Aix par paroisses et par doyennés, vers 1730.] Bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence : ms 1048.

    p. 449.

Annexes

  • Prix-fait de la construction de l'église paroissaile Saint-Martin. (A.D. 13 (Marseille), 2 G 2106, pièce 2.)
Date d'enquête 1970 ; Date(s) de rédaction 1987
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Sauze Elisabeth
Sauze Elisabeth

Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1969 à 2007.

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